Les yeux rivés vers la fenêtre
Je peux l'avouer à présent
Des images de toi j'ai fait naître
Mais tu étais plus qu'absente
Pleins de bons et faux sentiments
Je t'ai dédié tant de poemes mirroirs
Partie en éclats de verre
Que je n'ai plus rien en mémoire
Juste des images de toi
Balayé comme de la poussière
Entre nous rien de sincère
Juste des pensées en moi
Sur la "Pure Conception"
De ce que j'attendais
Tu ne m'as rien donné
Après tant de silence
Telle est la réalité
Telle est la distance qui nous sépare... Je te pardonne.
24 octobre 2007
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