Porté en cette montagne par le Vent
Il scrute ce paysage à l'horizon
Il le contemple sans en connaître la raison
Son destin scellé par le temps
Prairies verdoyantes d'arbres
Cours d'eau bleué, Azur tel le Ciel
En voyant cela il restait de marbre
Ses sentiments éparpillés pêle-mêle
Ce n'est qu'en brisant le Sceau
Qu'il connaîtrait un Renouveau
Si ce paysage pouvait venir à lui
C'est comme si brisé seraient les maux
Descendra t-il de sa haute montagne
Pour clamer cette terre nouvelle
Qui peut-être déjà perdue
Avant même qu'il en ait fixé espoir dessus
23 février 2006
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