21 novembre 2005

De tant de choses...

Par moment c'est vrai que je ne sais plus ou j'en suis. J'ai l'impression que s'abandonne en moi toute mon energie, pour des temps passées qui me remettent en mémoire de la nostalgie, des moments de joies, parfois de profondes tristesses, tiraillé entre mes souvenirs perdus et un futur qui me parait chaque jour plus ardu, j'essaie d'afficher le sourire devant tant d'autres, mais il y aura un moment, sûrement tres proche oú cela ne sera plus possible, je devrais alors lutter, m'acharner pour donner un sens à cette vie, qui chaque fois perd son sens lorsque je me remets en question car je n'en trouve aucune réponse, je vais buter forcément un moment face contre terre, mais il faudra me relever, aussi difficile qu'il soit, cependant je veux continuer à garder cette joie dans mon coeur, parce qu'elle m'apporte tants de douceurs, que je ne peux les compter, ni les quantifier, pourtant il en reste bien une à classifier, à clarifier. Or cette joie là est la plus difficile à trouver, car il ne faut pas la chercher, pour la rencontrer, il faut continuer à marcher, à avancer car sur le chemin du temps, il n y a pas de retour, mais sur la durée de la route, on ne peut progresser seul indéfiniment, c'est alors que s'ouvre les bras du carrefour, proposant de nombreux choix et détours nous amenant à une nouvelle case départ, une voie dont on ne connait les contours, qu'on aimerait raccourcir ou ralonger selon notre plein gré. Il y a des aventures dont on ne voudrait connaitre la fin, d'autres pour lesquelles le dénouement nous parait bien incertain, mais ne tente jamais d'en précipiter le cours, une inondation n'est jamais loin, tant que les flammes de la joie sont en toi, ne les éteind pas, Mieux vaut-il avancer heureux, et être embraser par la joie que de mourir noyer, de même qu'il est indispensable d'apporterune eau pleine de fraicheur pour un renouveau, éviter ainsi de facheux incendies, et qu'il n'existe donc un unique élément pour t'aider à sourire.

12 novembre 2005

De la jeunesse...

Qu'en est-il de cette douce France
Ou être jeune n'est plus une chance
Ou le fait de décrocher un stage
Ne nous donne que de la rage
Ou un jeune sur quatre est au chomâge
Quel bonheur le pays des fromages (qui puent)
Révolte de coeurs, inflations d'esprits
Aux grands maux les grands moyens
Réactions en chaînes s'ensuivent
Après tout on a rien pour rien
Liberté, égalité, fraternité
Mais ou est donc la solidarité,
Quand on n'a pas choisi sa couleur
Alors pas de travail, que de malheurs
Dans cette société rempli d'à priori
Au pays de l'(in)égalité des chances
Vous êtes la bienvenue en France!

3 novembre 2005

Marier Art Réflexion Instinct Occultisme Néant

Pour vous je vous dédie toutes ces roses
Qui ne sont en aucune forme des proses
Ces bouquets de mots enchanteurs
Qui n'aimeraient plus être flatteurs

Il n y a pas assez de mots dans les poèmes
Pour vous confesser que je vous aime
Et si je m'en remettais aux romans
Alors l'on me dirait que je vous mens

Si j'en arrivais à vous en réciter des contes
Trop beaux pour que je vous les raconte
Si ce sentiment se révélait n'être qu'un mythe
Les légendes diront que vous étiez mon rite

Un sacre maladif au rythme frénétique
Dont la guérison en serait mortelle
Un rite aux milles et une musiques
Dont je veux la durée eternelle

Je n'en serais pour autant maudit
En incarnant la non personne
Si en vous ne vit pas la mélodie
Que mon coeur s'en raisonne

Or si mon coeur vous donne raison
Je n'en imaginerais plus seulement des vers
Trop occupé à peindre vos horizons
Ainsi donnerais vie a un nouvel Univers