Pour vous je vous dédie toutes ces roses
Qui ne sont en aucune forme des proses
Ces bouquets de mots enchanteurs
Qui n'aimeraient plus être flatteurs
Il n y a pas assez de mots dans les poèmes
Pour vous confesser que je vous aime
Et si je m'en remettais aux romans
Alors l'on me dirait que je vous mens
Si j'en arrivais à vous en réciter des contes
Trop beaux pour que je vous les raconte
Si ce sentiment se révélait n'être qu'un mythe
Les légendes diront que vous étiez mon rite
Un sacre maladif au rythme frénétique
Dont la guérison en serait mortelle
Un rite aux milles et une musiques
Dont je veux la durée eternelle
Je n'en serais pour autant maudit
En incarnant la non personne
Si en vous ne vit pas la mélodie
Que mon coeur s'en raisonne
Or si mon coeur vous donne raison
Je n'en imaginerais plus seulement des vers
Trop occupé à peindre vos horizons
Ainsi donnerais vie a un nouvel Univers
3 novembre 2005
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