De beaucoup se questionnent comment je m'y prends pour prendre les coups bas de l'adversaire, l'ennemi invisible qui vous poignarde dans le dos, vous laissant à votre propre sort à saigner à blanc dans l'atroce silence de toutes ces mi-nuits blanches.
Cela demande une certaine forme de résilience acquise avec l'expérience des années passées, tel un boxeur qui a appris à résister aux coups de poings devastateurs de son adversaire par rapport à un homme non préparé, ensuite à force de voir le style de combat ennemi, on peut lire quand faire appel à la défense qui permet d'amortir grandement les impacts.
Bien-sûr à force de recevoir trop de coups, on finira bien par s'écrouler et ne ressembler à rien, c'est là qu'entre en scène le talent d'esquive. Au contraire de la résistance, l'esquive ne subit pas, on manoeuvre, on recule, on passe à une forme d'action passive. Passive puisque rien n'est mené dans le concret pour attaquer, nénamoins on ne subit pas. Cette compétence requiert observation et discernement, sans quoi vouloir esquiver, pourrait se réveler pire que prendre le coup auquel on s'attend.
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