Effectivement ça va faire un bail que je n'ai pas posté, un mois jour pour jour, faudrait pas que ça devienne une habitude d'éditer des articles avec si peu de rigueur ^^.
Enfin je songe à changer de style d'article, car les précédents étaient très alambiqués :p.
Donc pour agrémenter ces écrits, je vais essayer d'être le plus rigoureux possible, mais sans pour autant faire des tartines sur mes états d'humeurs et mon petit quotidien personnel.
21 décembre 2005
21 novembre 2005
De tant de choses...
Par moment c'est vrai que je ne sais plus ou j'en suis. J'ai l'impression que s'abandonne en moi toute mon energie, pour des temps passées qui me remettent en mémoire de la nostalgie, des moments de joies, parfois de profondes tristesses, tiraillé entre mes souvenirs perdus et un futur qui me parait chaque jour plus ardu, j'essaie d'afficher le sourire devant tant d'autres, mais il y aura un moment, sûrement tres proche oú cela ne sera plus possible, je devrais alors lutter, m'acharner pour donner un sens à cette vie, qui chaque fois perd son sens lorsque je me remets en question car je n'en trouve aucune réponse, je vais buter forcément un moment face contre terre, mais il faudra me relever, aussi difficile qu'il soit, cependant je veux continuer à garder cette joie dans mon coeur, parce qu'elle m'apporte tants de douceurs, que je ne peux les compter, ni les quantifier, pourtant il en reste bien une à classifier, à clarifier. Or cette joie là est la plus difficile à trouver, car il ne faut pas la chercher, pour la rencontrer, il faut continuer à marcher, à avancer car sur le chemin du temps, il n y a pas de retour, mais sur la durée de la route, on ne peut progresser seul indéfiniment, c'est alors que s'ouvre les bras du carrefour, proposant de nombreux choix et détours nous amenant à une nouvelle case départ, une voie dont on ne connait les contours, qu'on aimerait raccourcir ou ralonger selon notre plein gré. Il y a des aventures dont on ne voudrait connaitre la fin, d'autres pour lesquelles le dénouement nous parait bien incertain, mais ne tente jamais d'en précipiter le cours, une inondation n'est jamais loin, tant que les flammes de la joie sont en toi, ne les éteind pas, Mieux vaut-il avancer heureux, et être embraser par la joie que de mourir noyer, de même qu'il est indispensable d'apporterune eau pleine de fraicheur pour un renouveau, éviter ainsi de facheux incendies, et qu'il n'existe donc un unique élément pour t'aider à sourire.
12 novembre 2005
De la jeunesse...
Qu'en est-il de cette douce France
Ou être jeune n'est plus une chance
Ou le fait de décrocher un stage
Ne nous donne que de la rage
Ou un jeune sur quatre est au chomâge
Quel bonheur le pays des fromages (qui puent)
Révolte de coeurs, inflations d'esprits
Aux grands maux les grands moyens
Réactions en chaînes s'ensuivent
Après tout on a rien pour rien
Liberté, égalité, fraternité
Mais ou est donc la solidarité,
Quand on n'a pas choisi sa couleur
Alors pas de travail, que de malheurs
Dans cette société rempli d'à priori
Au pays de l'(in)égalité des chances
Vous êtes la bienvenue en France!
Ou être jeune n'est plus une chance
Ou le fait de décrocher un stage
Ne nous donne que de la rage
Ou un jeune sur quatre est au chomâge
Quel bonheur le pays des fromages (qui puent)
Révolte de coeurs, inflations d'esprits
Aux grands maux les grands moyens
Réactions en chaînes s'ensuivent
Après tout on a rien pour rien
Liberté, égalité, fraternité
Mais ou est donc la solidarité,
Quand on n'a pas choisi sa couleur
Alors pas de travail, que de malheurs
Dans cette société rempli d'à priori
Au pays de l'(in)égalité des chances
Vous êtes la bienvenue en France!
3 novembre 2005
Marier Art Réflexion Instinct Occultisme Néant
Pour vous je vous dédie toutes ces roses
Qui ne sont en aucune forme des proses
Ces bouquets de mots enchanteurs
Qui n'aimeraient plus être flatteurs
Il n y a pas assez de mots dans les poèmes
Pour vous confesser que je vous aime
Et si je m'en remettais aux romans
Alors l'on me dirait que je vous mens
Si j'en arrivais à vous en réciter des contes
Trop beaux pour que je vous les raconte
Si ce sentiment se révélait n'être qu'un mythe
Les légendes diront que vous étiez mon rite
Un sacre maladif au rythme frénétique
Dont la guérison en serait mortelle
Un rite aux milles et une musiques
Dont je veux la durée eternelle
Je n'en serais pour autant maudit
En incarnant la non personne
Si en vous ne vit pas la mélodie
Que mon coeur s'en raisonne
Or si mon coeur vous donne raison
Je n'en imaginerais plus seulement des vers
Trop occupé à peindre vos horizons
Ainsi donnerais vie a un nouvel Univers
Qui ne sont en aucune forme des proses
Ces bouquets de mots enchanteurs
Qui n'aimeraient plus être flatteurs
Il n y a pas assez de mots dans les poèmes
Pour vous confesser que je vous aime
Et si je m'en remettais aux romans
Alors l'on me dirait que je vous mens
Si j'en arrivais à vous en réciter des contes
Trop beaux pour que je vous les raconte
Si ce sentiment se révélait n'être qu'un mythe
Les légendes diront que vous étiez mon rite
Un sacre maladif au rythme frénétique
Dont la guérison en serait mortelle
Un rite aux milles et une musiques
Dont je veux la durée eternelle
Je n'en serais pour autant maudit
En incarnant la non personne
Si en vous ne vit pas la mélodie
Que mon coeur s'en raisonne
Or si mon coeur vous donne raison
Je n'en imaginerais plus seulement des vers
Trop occupé à peindre vos horizons
Ainsi donnerais vie a un nouvel Univers
7 octobre 2005
La voie du guerrier
Pendant des mois Il a souffert
Son coeur hurlait de douleur
Sa voix ne faisait que se taire
Devant autant de malheurs
Il s'est tellement dédié à ce cristal
Qu'il en a oublié sa propre vie
Place aux chimères qui s'installent
Lui ont dévorés toutes envies
Chaque instant se plaignant de son sort
Il ne lui restait que ces dernières armes
Qu'il ne souhaitait qu'en dernier ressort
S'achever par les mots et les larmes
Poussé dans ses derniers retranchements
Il s'impatientait de la venue du bourreau
Il ne souhaitait que la fin de son tourment
Pour que son coeur cesse enfin de crier haro
Se languissant de l'arrivée du coup final
L'ennemi ne voulait finalement le faire taire
Alors qu'il ne voulait plus de cette vie infernale
La mort se complaisait à le carresser au cimeterre
Ses maux l'ont etreigné au point culminant
La décision était alors à sa portée
La tragédie lui paraissait dès lors néant
Faire son choix ou laisser autrui l'emporter
Dans un élan d'espoir renaissant
Il finit enfin par se relever
Il ne voulait plus être sauvé
Aucun coup porté n'était menaçant
Alors qu'il était au bord de la défaite
En pleine guerre il battit en retraite
Mécontent du tournant de cette bataille
Il se décide finalement et se ravitaille
Il s'est rapproché de la signification du sage
Il a enfin acquis le vrai courage
Celui de faire face à tous les fronts
Cette fois reparti à l'assaut pour de bon
Sans merci seront les coups de son épée
Puisqu'il sait qu'ici il n y aura plus de paix
Préférant mieux tout détruire
Pour ensuite mieux reconstuire
Jusqu'alors il n'a que suivi le tracé de cette ligne
Mais parfois il faut s'en remettre au langage des signes
Le chemin comporte carrefours et détours
Telle est toute la difficulté du parcours
Prêt à tomber de nouveau dans ses précipices
Quitte à poser un pied ferme dans les Abysses
Jamais au grand jamais laisser les ténèbres le pousser
Meilleur est-il de marcher tout seul et avancer
A présent ouvrir tout grand les portes de son coeur
Sans craindre d'être submerger parce-qu'il y a à l'intérieur
Pâré à plonger au fin fond de son âme
Pour y rencontrer une nouvelle flamme
13 septembre 2005
Une pensée qui flottait...
Pourquoi t'acharnes-tu à tout prix à nous aguicher vers toi?Quelle en est la raison profonde si ce n'est de faire souffrir dix mille morts le premier venu.De rendre fort un homme faible, de faire sombrer les plus courageux.
Que doit-on en tirer dans tes terres si chaudes et arides,dans tes jalonnements de dunes sableuses pour que les hommes s'y aventurent? Pour y faire un voyage initiatique ou encore se perdre et mourir de soif car tu ne représentes qu'un désert.
Un endroit qui ne manifestent sa vie que pour en montrer ses milles dangers, pour que plus soif on en crêve, ou mourir par le dard des scorpions, car les illusions ont chassé les rêves, ceux-ci emplies d'un fatal poison.
Début des cours, premiers soupirs et flottement dans l'air.
A 8h on a eu notre premier cours plus précisément un cours magistrale (bidon!??) en informatique, déjà ça commence bien surtout si c'est un cours magistrale, avec les sempiternelles présentations du programme, la fiche élève à remettre à nos profs oú il faut y écrire son nom, prénom et autres informations qu'il faut râbacher à longueur de journée et ceux pour toute la semaine. Fameuse fiche qui ne sert à rien puisqu'aucun prof ne nous contacte par la suite (enfin dans mon cas).
Ensuite ces petits imprévus ( cours qui se rajoutent, rumeurs urbaines ou plutôt universitaires, profs qui ne viennent pas donner leurs cours) qui font sourire... Ou pas! Bref toujours ce même sentiment de se poser la question: A quoi sert la première semaine de cours? A Rrrrrr...
A remettre les pendules à l'heure, mais bien-sûr! Surtout quand on sait que certains profs sont réglés à l'heure espagnole...
Enfin bref, ce blog sent le défouloir, je ferai en sorte d'être plus original la prochaine fois!
Ensuite ces petits imprévus ( cours qui se rajoutent, rumeurs urbaines ou plutôt universitaires, profs qui ne viennent pas donner leurs cours) qui font sourire... Ou pas! Bref toujours ce même sentiment de se poser la question: A quoi sert la première semaine de cours? A Rrrrrr...
A remettre les pendules à l'heure, mais bien-sûr! Surtout quand on sait que certains profs sont réglés à l'heure espagnole...
Enfin bref, ce blog sent le défouloir, je ferai en sorte d'être plus original la prochaine fois!
12 septembre 2005
Rentrée à l'UHA!!!
Aujourd'hui à 8h30 s'est déroulé la prérentrée pour les classes de licence en LEA. Une rentrée qui démarre sur des chapeaux de roues, du moins pour moi, un début qui commence en catastrophe pour tous les professeurs: et oui l'arrivée des réformes LMD, qui au lieu de simplifier les choses ne fait que tout compliquer! Apparemment il n y a pas de salle pour tous les cours à priori, donc certains cours n'ont pas de salle, et demain les cours commencent déjà, l'emploi du temps est encore temporaire, le vendredi il y a cours mais nous ne disposons toujours pas des horaires de cours. Tout porte à croire que c'est le déluge, enfin bon, ça râle, ça râle mais ça reste tout de même mieux que certaines autres universités ( sans citer de nom). Mais bon c'était des choses à prévoir tout ça, car la réforme on en parle pas depuis hier. En attendant tâchons de garder la pensée haute et de ne pas se décourager pour autant!
10 septembre 2005
Merveilleuse UMB ou encore l'art de faire rater à tout prix des exams aux étudiants.
Comme je l'ai indiqué, actuellement je suis en plein rattrapage, pour nombre d'étudiants, cela est synonyme de révisions, de stress et autres... si cela n'était déja pas assez, l'UMB à Stras propose encore mieux - du moins dans ma section - je m'explique: sur le site de l'UMB y figure un calendrier des emplois du temps ( qui a été modifié trois fois en pleine période de rattrapages... Génial), dans ce même calendrier y figure soi disant les dates des epreuves de nos examens, or ce n'est pas le cas! Pourquoi ? Tout simplement parce-que sur le panneau d'affichage de la merveileuse section LEA, les dates, les heures et les salles ont complétement été remodifiées, par conséquent cela n'a plus rien à voir avec le calendrier disponible sur le net. Quand on sait que les bâtiments de l'UMB sont réputés pour être des labyrhintes a cause de la numérotation des salles, des escaliers, sous-escaliers, sous-sols et j'en passe; il n'empêche que le nec plus ultra reste que lorsqu'on habite loin ou bien alors que l'on a effectué un stage loin de Strasbourg, parfois même en dehors de l'Hexagone, et que l'on téléphone au secrétariat pour demander les heures exactes, les vrais, pas celles bidons qui sont sur le net, cette vieille secrétaire de B, nous répond d'un ton sec: "Non je ne peux pas vous les donner par téléphone!!!"
Alors la y a de quoi criser et de proférer des insultes grosses comme des montagnes, déjà que y a eu ce maudit stage ( obligatoire ) en été, le rapport à boucler et en plus les révisions pour septembre, ajouté à cela ce dysfonctionnement universitaire qui montre un manque de professionalisme total de la part de l'université, ce qui pénalise les étudiants encore plus.
Bref c'était ma grande gueulante que je tenais à pousser car là la définition d'être dégoûter du
début à la fin sied à merveille. Et s'il n y avait que ça ...
Alors la y a de quoi criser et de proférer des insultes grosses comme des montagnes, déjà que y a eu ce maudit stage ( obligatoire ) en été, le rapport à boucler et en plus les révisions pour septembre, ajouté à cela ce dysfonctionnement universitaire qui montre un manque de professionalisme total de la part de l'université, ce qui pénalise les étudiants encore plus.
Bref c'était ma grande gueulante que je tenais à pousser car là la définition d'être dégoûter du
début à la fin sied à merveille. Et s'il n y avait que ça ...
Bienvenue!!!
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